Ce grand spectacle
Que l’on démêle
Des prémices
De l’aube à la fin
De cette vie imprécise
Que l’on mène
D’une rue à l’autre
D’une peine à l’autre
Autant de larmes
Séchées comme
Le lit d’un fleuve
Coupant en deux
La ville et le reste
Dessinant ce beau
Paysage accidenté