Quand s’éveillent
Ces quartiers
Où l’on s’orientait
De jour et de nuit
Que l’on retrouve
Dénués de leurs
Sentiments raidis
Rattrapés par la douceur
Aux portes d’une vie
Rénovée sombrant
Dans l’architecture
Sauvés du naufrage
De la dernière chose
Au monde comme
Sa destruction
Ce qui lui restait
Ce peu d’espoir
Qu’elle enterre
À nouveau
Tous ces mots
Trop durs
Dans l’éclat
Presque amoureux
De la foule
De ces couleurs
Recouvrant le
Malheur
Devenu ce
Qui attire
Et séduit