Pour voir du soleil
Un seul rayon
Comme on respire
Un trésor
Sans regret
Sur la croix
Que l’on devine
Dans l’éblouissement
De ce béton ajouré
Sa révélation
Délaissant
L’écrasant fardeau
Le tourbillon
Desséchant
De la foule
Et du vent
De la douleur
Comme une
Revenante
Inlassable
Comme on respire
Les instants sans elle
Y mettant
Toute sa vie
À la source
Éternelle
De la cité
D’un ponant
Tout illuminé
Si près dans l’esprit
De l’infinie capitale