Les heures
Que l’on mesure
Comme si l’on
Vivait au pied
D’une horloge
Contre cette forme
D’éternité qui
Court les rues
Alors que la nuit
Grave s’avance
Que l’on compte
Les grains d’un
Rosaire
Prière de ville
Qui s’harmonise
Avec tout ce que
L’on voit
A défaut de pouvoir
La retenir