Il y a toujours
Ce moment où
La parole défunte
Reste en suspens
On peut toujours
L’inventer
La créer en soi
Loin des parcs
Et des jardins
Combler
Le vide
D’une ligne
À l’autre
D’une rame
À l’autre
Comme on s’évertue
À ne pas comprendre
En apparence
Alors que l’on connaît
Tous les signes
De la ville
Sa parenthèse
Et sa lame
Tranchante
Sa foule
Reposante
Comme un
Désordre
Ludique
Qui reconnecte
Au monde