A ce qui s’exonère
s’évapore se dilue
après le passage
d’un souvenir
si pesant peut-
être, tellement
qu’on l’ignore. Et
puis, il ressurgit
au détour, et l’
on s’écroule sans
en avoir l’air. Sans
donner l’impression
que. Et pourtant,
c’est la chair qui
vole en éclats et
la substance, cette
essence pour la
pensée, qui prend
feu, que l’on éteint
par des larmes.
Au-delà c’est
impossible. Sur
le palier je reste.
Plus loin, c’est trop