On se voit contraint
Entre ses murs
Qui ne parviennent
À contenir la ville
Et ses directions
Toujours opposées
Comme on comble
Le vide toujours
En marge de son écoute
Cette rage à s’étendre
À s’épanouir comme
On se consume
Dans sa respiration
En naissance et lieu
Sa profondeur
Inintelligible
Son existence
D’encre et de pierre
Désert et livre
Ouvert
Jour et nuit