De quel geste
son repentir
sur la peau
sommes-nous les vies
D’aller et venir
en nos êtres profonds,
ombres douces
qui s’unissent
là sur un mur
comme l’humble humeur
de notre feu
De cet office
que l’on célèbre
guidés par
de pures et simples
aumônes de nous-mêmes
Quand nos triomphes
quelque chose
comme cette lumière
pôle affranchi
des sommeils
en péril tout lacérés
Cet éveil enfin
dans l’irradiance
de ta chair