Loin de ce monde
Qui me prend et
me
Recrache. Tel que
je
Me suis laissé
emporter.
Je m’approche à
pas de
Loup de ta
poésie.
De cette musique
bassement
Jouée, sur un sol
comme un
Corps. De ce
contenu
En effraction.
Vraiment
Résolu à ton
dire, à le
Rendre céleste.
Pâle
Lueur tout
entière dans
Les gestes…A
l’affût
De cette trace,
chose
Si
touchante…Qu’une
Mélancolie sombre
L’accompagne
toujours.
C’est ton être,
et ta
Langue et ton… Au
Bord d’une mer,
de la
Rade, de ses
contours
Ourlés qui
semblent
Mourir de
révérence
Oubliée…A la
mesure
Des foules prises
de
Furie puis de
langueur
Tour à tour. Loin
de ce
Monde qui me
prend
Et me recrache.
Tel que je
Me suis
laissé…Pourquoi
Toujours emporter ?
Comme
L’on fait le mort
avant de
Le devenir.