Encore sous les
ruines, dans une cour
intérieure. Fumant
aux bruits décomposés
de l’hiver, ce qu’il
annonce pour le reste.
Manteau ouvert, comme
une pensée jamais vraiment
éteinte, j’emprunte une
rame direction la blanche.
Je regarde une empreinte,
un visage qui semble
infini, ce décor…Rideau.
Je traverse ensuite
ce quartier si jeune,
un exploit que d’y
parvenir ce matin.
En cause les cascades,
les obstacles posés là.
Comme pour te dire
au creux de l’oreille…
Les oublis de soi, le
détachement. Les
couleurs aux reflets
carnés qui s’échappent
d’une posture. Juste en
face. Ce visage infini,
qui veut descendre…