Ça reste indispensable
Comme vivre son usure
Toutes ces choses
D’un quotidien dévoré
Débris d’une vie
Que l’on prend en main
Avec lesquels on dessine
Une autre direction
Dans le détachement
Des jours sombres
Pleins d’heures tardives
Et de verres avalés
Dans l’alliage acajou
D’un passé révolu
Presque enterré