C’est en buvant
Les ténèbres
Ce corps échappé
De son futur
Jugement dernier
Ce désert égaré
En soi dans lequel
On se perd
Que l’on retranche
L’œuvre de mort
L’altérité toute
Entière que l’on
Accueille
Comme ces vanités
Urbaines après lesquelles
On court
Cette vaine apparence
Monde déchu en soi
Que l’on tente
De retenir