Ne pas s’effacer
Jusque dans le cœur
De la ville
Cette chose séparée
De l’écroulement
De l’idée même
D’un salut
Comme la pensée
Trop profane
Qui s’éternise en soi
Le sable mouvant
Au lieu du trottoir
Ce genre d’atteinte
Ou d’attente
Comme le dépérissement
De ce que l’on était