Le sourire apaisé
Un autre soupir
Face à la nuit
Sa détresse singulière
Où palpite des larmes
La chair dans le brouillard
Et le froid d’un courant d’air
Comme le besoin
De sentir le monde extérieur
Suspendu à l’existence
La sienne comme de la cendre
Alors que l’on veut sentir la terre
Et le bruit de la ville
Tous ces efforts
Pour tenir debout
Et même ces turbulences
Que rien ne détourne
De cette marche
Au fil de rues creusées