Comme la sépulture
Dans laquelle
Nous sommes tombés
L’opacité flotte ainsi
Comme un brouillard
Sous nos yeux
Cachant cette foutue
Machine qui décide
De tout
Tout ça ne veut
Rien dire du tout
Ce corps-usine
Qui nous abrite
Et tous ces êtres
Que l’on voit
Sur le bas-côté
Alors que l’on
S’enfonce
Et remonte
Sans trop savoir
Pourquoi
En perçant le noir
Pour voir quand même
Un firmament