Aux accidents
Qui se répètent
Sans jamais songer
À se relever
Ils éclatent
D’un écran l’autre
Comme autant
De combats
Inutiles
Alors que la
Ville change
Qu’elle triomphe
Seule de ses
Blessures
Il suffit de la voir
Taillée dans
La solitude
Pour vivre
Dans le mutisme
De la survie
Et de l’avenir
Y voir toujours
Derrière ses paupières
La beauté fulgurante
Du mouvement