Le trait d’un visage
Celui qui donne
Le poids du silence
Finit toujours
Couché sur une page
Ou sur un trottoir
Comme une ombre
Chavirée
N’évitant jamais
L’encerclement
De la foule
Dans le signe
Presque infini
D’un langage
Luttant contre
Sa disparition
Comme si là
On pouvait
Cesser de mourir