Sous d’infimes regards
Cet anonyme remord
Qui se fond dans
La masse des vivants
Ceux qui n’en reviennent
Pas encore d’être là
Au milieu des têtes de mort
Passant à la vitesse
D’un éclair d’orage
Alors que la maladie
Mord et se tord
De rire en flânant
Parmi tout ça
D’un quartier l’autre
Elle prend son parti
Celui d’assassiner
Ou de laisser
La jeunesse et son feu
Brûler