Mourant du temps
De cette loi qui
Déshonore
Quand elle cède
A son assaut mortel
Mourant des années
Qui descellent
Une à une
Nos forces
La défaillance
Se tait pourtant
Comme foudroyée
Par le désir toujours
De cet art
Pâle et sombre
Dans lequel
On marche
Inlassablement
Faisant de nos
Abîmes un sommet
De nos pudeurs
Des torrents
Cruels