Autrement c’est la mort
Comme une bonne pénitence
Contre ce corps qui tance
Cette ombre au repos
Sa nature qu’on devine
Sans l’ombre d’un regret
Qui se dit souveraine
Et qui souffre pourtant
De ce lieu parfois son enfer
Autrement c’est la mort
La faiblesse suprême
Cet attentat contre soi-même
Sans le soupir de trop
Cet amour finalement
D’un ciel encore blême
Sa douleur solennelle
Que l’on tente d’apprivoiser
Contre ce temps dépensé