Après tu meurs
Rien d’une fuite indignée
Juste des torts
Charnels et intimes
La grâce insigne
Et souveraine ne te
Quitte jamais vraiment
Ni le culte étrange
D’un temps désamorcé
Le corps comme
Un compagnon de
Voyage et de victoire
Puis la défaite
En propos à peine
Confus
Qui se transforme
En acte funeste
Dans l’extase
D’un poème