Contre nous
L'abîme
S'en nourrir
Un temps
Seule demeure
Humaine
Pour ce laps
Ce qui ressemblait
A la beauté parfaite
De l'anéantissement
N’était que la
Recherche épuisante
D'une fin
Cette pierre que
L'on prend
Dans la gueule
Trop de mots
Rodés comme
Autant de blessures
Beaucoup plus loin
Que la mort
Finalement