Les morts vont
Si vite dans le noir
Les mots respirent
A peine
Tout s’éloigne
Se montre
A l'écart des
Flambeaux
Au bout du voyage
Il faut bien s'unir
Pourtant
Obéir au silence
Mais toujours
Le galop redoutable
Finit par emporter
Devenir ce vent
Qui roule
Un esprit desséché
Qui danse comme
Un con sur
Un chemin brûlant