Oubliée depuis
Longtemps
Cette liturgie
Comme les autres
Ces rêves lugubres
Restés inutiles
Les saintes paroles
N'ont jamais
Calmé la douleur
Elles n'ont jamais
Enlacé le moindre
Corps
Préférant s’abîmer
Et parcourir le
Monde péri
Ce fougueux
Désespoir
A pourtant la
Douce voix
De la fuite