A nouvelle fragrance
nouvelle odeur du temps
c’est peine perdue et
c’est tant mieux
l’étrange ravissement
devant les ombres
on ne peut pas
tout expliquer de
la colère – elle
ressemble à une
chapelle ardente
finalement elle parle
à la mort – alors
caressant à l’envi
à l’aube éthérée
ramures et plis
à l’aube éthérée
ramures et plis
or de tes rêves
l’horizon découvert
c’est sur tes rives
que je veux m’
éteindre - quand il
le faudra - près
de ton eau parmi
tes étreintes
que je veux m’
éteindre - quand il
le faudra - près
de ton eau parmi
tes étreintes
tes frissons le chœur
de ta voix - simplement
ton amour - de sentir
tes mondes - d’en
écarter l’indicible