Et la nuit d’octobre
sa douleur divine
sommeil terrible qui
t’isole et qui s’éteint
dans la Seine
lumière tiède
un bleu du ciel
qui se prolonge
bien au-delà de Paris
ta voix qui me dit « viens »
en dépit de mon cœur
sombre
voilà ma route
possédant l’armure
de ton amour
le bonheur suprême
et mon être en deuil
s’ouvre à l’été
la lueur impatiente
des mois
encore furieux des
années dissipées
mais sans nul regret