Par-dessus tout
pour s’en démettre
et survivre – et survivre
à cette nuit le silence
et son ombre – puis
aux chemins dans la ville
aux crissements de la
ville – les différer les
rendre agréables –
par-dessus tout
pour se défaire
de ce mal insidieux
sans fatigue regarder
regarder encore les
nuages recouvrir les
façades – avec une infinie
douceur – cette mer
d’un temps sans
mesure