Au décours de la lune
après l’ascendance
et son intrigue, après
sa gloire, et son déclin
que l’on voit de si près
que l’on voit de trop près -
la fiève était ma chute
la perte ce quotidien
chaque jour érodé
et plus rapide que
l’ancien - chaque jour
plus mécanique que
ton fait antérieur -
sur le bord citérieur
de la conscience -
la conjuration puis la
prière comme des
manoeuvres -
la fièvre était ma chute
la perte ce quotidien
chaque jour rendu
à son instinct - l’
inspiration qui t’
anime - et m’
enveloppe - ce
dessin que j’
inspire -