Quand meurt la dernière
illusion, s’allume quelque
part une existence en
pleurs, dans un champ
si rétréci...Le dialogue
avec la mort, immatériau
autonome passant par
la pensée...Ce dialogue
cesse, la question du
chaos, de ces débranche-
ments s’inverse...Cette
existence devient le
centre de son monde...
Et les pleurs, en rosée du ciel,
m’irriguent à
nouveau.
Ton approche, secondes
embrassées, puis minutes
sans barrières...C’est une
peinture à nos mains, à nos
corps je présume...Bordée
d’allusions, comme les
Lèvres de Man
Ray.
Cette chose entre l’
organique et la pensée.
Nos chairs enlacées
séquences arrachées
au temporel, comme
ta nuque, en bas-relief
précieux. Et l’écho
de nos vies mêlées
comme anoblies. Portées