Aux travaux d’
errance, ceux
qui suivent le
soleil à son coucher,
incandescent parfois
si grave... Je superpose
nos matins, ces réveils
en éruption...La nuit
défunte que l’on
enterre chair contre
chair. Comme taillés
dans les cris perçants,
abattus alors que l’on
s’égratigne, que l’on
s’ouvre les veines
l’un pour l’autre.
S’élevant comme des
aspirants, aux portes
d’une demeure,
nouvelle de soupirs
et de doux châtiments.
D’une étreinte presque
ensevelie, dans
laquelle, chancelants,
nous tombons. D’une
volonté commune,
je te rattrape, tu me
retiens...Dans ces
arcades gracieuses.
A vue d’œil, de nos
mains enlacées.