Promis aux aurores,
dispersé jusqu’à la
brume apparence...
Ne l’ai-je donc pas
tué ce mal ? Le
souffle me manque-t-
il déjà ? Alors que le
jour menace, que de
nobles arbres apparaissent
entre les tours, revenant
sempiternels hanter
ces nouvelles tâches
qui s’imposent à mon
corps, sans le moindre
répit. Pour être
accessible à sa colère,
à l’écoute d’une
vie à relancer. Promise
au départ sitôt arrivée.
Dans l’inconnu sans
laisser de traces, ni
d’adresse. Cette fougue
à ternir la lumière, à
la rendre indifférente
à l’indomptable, cette
chose qui barre le ciel.
Comme un passage...