Façon d’une mer
jamais tranquille,
à s’éteindre dans
un large demi-jour.
Entre les larmes
sèches, les mots
trop durs. Privés
d’air depuis longtemps,
puis soûlés de rafales
soudaines qui se lisent
entre les lignes.
Façon d’une mer
jamais tranquille,
perdu d’espoirs
efflanqués, visibles
au loin comme
un hiver perpétuel.
Incapable d’échapper
à tous les accessoires
qui font cette ville.
Et la fuite dans le décor.
Nourri d’ivresses, de
sillons dans la chair,
et de regards dans
les ombrages. Si
mal à l’aise, au fond,
dans cet éclairage...