Ce point dépassé,
un monde intérieur
que d’autres trahissent
et poussent dans l’abîme.
Je regagne un quartier,
on dirait qu’il s’acharne...
J’essaie d’y voir clair,
les tourbillons m’
emportent et me lavent.
Comme débarrassé
des soupçons, des
nouvelles chutes dans
la foule. Cette foule
et son goût de vengeance...
Je regagne au pas d’un
étranger mon logis,
dans lequel je surnage
sans dessein. Telle est
la voie, avec le blanc
d’un vin...Tes gestes
me paraissent comme
au clair d’un été. Alors
que dehors s’acharne
toujours...J’entends
grandir la clameur des
vents. Aux étages surtout,
les portes qui claquent...