De cette chose pure
à ce produit vaurien,
de la matière coupée
par le vent , ta beauté
indécise. Tant d’ivresses
s’y reflètent, que l’on
sert des souvenirs
à la place de nos
présents. Fonçant
brusquement dans
un virage, trajectoire
épouvantée, les mains
sur le peu de malheur
encore représenté.
Mais ce n’est rien,
comme une antienne.
Leitmotiv en langue
étrange, où tout est
couleur, apaisement,
et pourtant d’aucune
joie. D’aucune aide
aussi, dans cet espace
au ralenti des choses
au moins sont claires :
l’impact redouté,
l’obsession qui
suivra, et la guerre
intérieure déclenchée.