Seamy Side Of Life
Comment les apparences
Violemment se battent
L’intensité du réel
Du con ! Pauvre inva-
Lide qui se ment diffus
Et les souvenirs - sorti
Du rang vers cette heure
A l’intersection respirant la
Fin - sur un fond de ciel
Ce jour de Brest si clair
A la musique limpide
Comme un chant Texas
Et des fantômes en veux-tu
En voilà - le goût du
Construit à la hache pour
Nourrir les fantasmes
Ca force bien le dépit
Toutes ces portes de la
Ville passée - au milieu
D’une mort invisible
Il respire ? Tu parles...
Moi je vois des espaces
Qui perforent et m’arrachent
C’est ainsi que j’aime
L’immense - il écrase
Sa gueule de néant
Sur des fractures si
Belles pour assainir
L’air du monde - au port :
L’ouverture d’un large
Contre ces protections
Etouffantes - d’une extrême
Rapace - le regret à
L’attache nouvelle - le
Long d’une palissade
Liberté - peut-être suis-je
Trop défait ou trop de la
Ville - à bout de l’ancien
Y a sûrement un truc de
Ce style - genre d’excès :
Ailleurs c’est vieux et ça
Refuse - alors que perfuse
L’envie du large - être
La vitesse comme on
Effondre les défenses...