mardi 28 octobre 2008

Seamy Side Of Life



Comment les apparences


Violemment se battent


L’intensité du réel


Du con ! Pauvre inva-


Lide qui se ment diffus


Et les souvenirs - sorti


Du rang vers cette heure


A l’intersection respirant la


Fin - sur un fond de ciel


Ce jour de Brest si clair


A la musique limpide


Comme un chant Texas


Et des fantômes en veux-tu


En voilà - le goût du


Construit à la hache pour


Nourrir les fantasmes


Ca force bien le dépit


Toutes ces portes de la


Ville passée - au milieu


D’une mort invisible


Il respire ? Tu parles...


Moi je vois des espaces


Qui perforent et m’arrachent


C’est ainsi que j’aime


L’immense - il écrase


Sa gueule de néant


Sur des fractures si


Belles pour assainir


L’air du monde - au port :


L’ouverture d’un large


Contre ces protections


Etouffantes - d’une extrême


Rapace - le regret à


L’attache nouvelle - le


Long d’une palissade


Liberté - peut-être suis-je


Trop défait ou trop de la


Ville - à bout de l’ancien


Y a sûrement un truc de


Ce style - genre d’excès :


Ailleurs c’est vieux et ça


Refuse - alors que perfuse


L’envie du large - être


La vitesse comme on


Effondre les défenses...