Où s’élance
Ce qui brûle
En soi
Blessures
Lucides
De tout
Ce que l’on
Sait ou devine
Sans être ébloui
La détresse passée
La joie tellurique
Et le ciel de nos jours
Comme autant de morts
Que l’on a compilées
Cimetières urbains
De nos vies rangées
Au-dessus des abîmes
Et d’autres oublis
Que l’on nomme
Nos mers intérieures