Pour un peu
De cette douceur
D’un silence opiacé
Qui se répand
Pour un peu
De couleur
Comme ces quartiers
Qui renaissent polychromes
Et ces yeux ayant
Trouvé le sens
Entre les battements
De sang
Et les pulsations
Urbaines
Loin des confusions
Et de leurs désastres
Passés à venir
Quand l’absence
Au réel détruit
La pensée