Sans craindre
Jamais ce qui
Tristement
S’éteint
Ces grands nuages
Où l’on cherche
Ce qui n’est pas
Où l’on trouve
Tout ce que l’on
Ne parvient pas
À transmettre
En habit de chair
Et de sang
Mais trop loin
De ce corps
L’esprit tout déchiré
Aux yeux immenses
Mais perdus dans
L’étendue maritime