Comme on rejoint
La solitude d’une nuit
Celle d’un deuil
Que l’on retrouve
À voix basse
Que l’on a
Toujours partagé
Enveloppé d’un silence
Aux confins imprécis
D’un faubourg
Des frontières
Trop floues
D’une cité géante
Ou d’un corps
Qui n’a cessé
De se confronter
À l’alcool
Avant de devenir
Décombres
Puis vagues images
Que l’on se repasse
À la lumière d’un monde
Sans