Il y a le sang
Répandu de
La circulation
Toutes ces
Formes étrangères
Qui se mêlent
À nos souvenirs
Des chantiers et
Ces vestiges de tout
Ce qui nous ébranle
Le vertige de
Nos chaos intérieurs
Au milieu de tout ça
Qui nous traverse
Jusqu’à la mort
Il y a toutes
Ces choses
Que l’on ne peut
Abîmer
Toujours allumées
Et pour toujours