Les arbres
Vibrent
Paysages
Dépouilles
Que l’on voit
Lutter
En grisailles
Intérieures
Éclaircies
Soudaines
Lentement
Se détache
La patine
D’angoisses
Inexpliquées
Et d’accidents
À peine visibles
Inscrits dans le corps
Et sur les façades
À l’assaut de ces
Troubles
À l’affût de nos
Pas anxieux
Qui cerclent
L’horizon
Ce qu’on doit
Dépasser