Il y a cette
Accusation
Implacable
Cet impératif
De retenir
Le souffle
De le contenir
Là au plus près
Du chaos
De ces flux
Incessants
Que l’on aime
Tant
La contre-langue
Comme la tentation
Ultime
Au milieu de ce
Trop-plein sans issue
Et de voir ainsi
Tes yeux redevenir
Si présents