Ca enflamme
Les pleurs
L’autre monde
En soi
Ce présage
Toujours annulé
Que l’on regarde
Sombrer
Dans l’agitation
Ambiante
Comme on réduit
En poussière
Nos peurs
Pour ce temps-là
Si précis que l’on
En garde la trace
Au coin des yeux
Et ces demeures
Remplies par la mort
Que l’on frôle toujours
D’un peu trop près