Un long cheminement
Pour éviter le pourrissement
Et cette mort à grande vitesse
Juste écrire un mot comme
Le dernier des symptômes
Un long cheminement
Son odeur d’asphalte
Et d’essence aussi
Cette mort à grande vitesse
Que l’on décrit inlassablement
Comme le dernier des mots
Sans jamais s’étendre
Elle ne fait qu’apparaître
Son visage de dernière
Volupté s’affale
Et s’écrit tout seul