De saintes paroles
Qui n’en sont pas
A peine des blessures
Envenimées
Que l’on ouvre
Et referme
L’éternelle
Route arpentée
Une oraison
Dissipée
Ce cœur trop humain
Battant comme
Une vision s’estompe
Ces détails
Qui s’effacent
Jusqu’à s’évanouir
Il en reste
toujours
Pour emporter
Des souffles
En pagaille