On arpente
Un jardin noir
Plongé dans
La nuit
Le spectacle
Humain
Du crépuscule
Vide apparemment
Aux profondeurs
Pourtant bien
Visibles
A fendre ainsi
Le soir contemporain
D’un même trait
On conjure
Le feu intérieur
L’habitude
Forcément
Impuissante
De la colère
Son bruit inerte
Que l’on confond
Avec le jour