Tout vit
Par l’action
De ces mots
Toujours mieux
Que l’instrument
Aveugle de nos peurs
Ce monde que l’on
Tire à nous
Ces faces du temps
Que l’on observe
Dans le métro
Ces rages conquérantes
Qui s’écrasent contre
Nos douleurs
Le point de se relever
De les restituer ici
On se dit que l’on
Corrige ainsi
La mort