Ce que l’on inflige
Du sommet de sa bâtisse
Ecrite – ce présent
Tumultueux que l’on
Façonne pour une sorte
D’éternité – ce cœur
Qui me laisse vieillir
Les eaux dissipées
D’un paysage que l’on
Porte encore
Sous l’ombre
De ton jardin
Luxuriant
Sans l’ombre
D’une ruine
D’une ville
Mourante
Parmi les
Temples fiers
Et les rues
Foisonnantes
Ce que l’on s’inflige
Finit par se perdre
En silence – au cœur
De ta cité dénudée