Sur le visage
Une telle clarté
Qu’il pourrait
Remonter les ténèbres
Comme débarrassé
De toutes les souillures
Avec pourtant
Dans les yeux
Un reste
De brouillard
Que l’on traîne depuis
Depuis que l’aube
Ne chasse plus
Les peurs ancestrales
On ne se protège plus
De leurs rayons
On les absorbe
Leur venin
Est cette écriture