Tu considères la paix
La bonne mort
Ou la mauvaise
C’est toujours pareil
Tu considères ton
Coeur débile
Sa faiblesse
Que tu éclates
D’un coup de batte
Tu assistes à la lutte
Tu subis la soif
Inépuisable
De la douleur
Tu écoutes
La voix intérieure
La nuit qui te
ronge
Parmi les
Heures en vrille
Qui s’écrasent
Comme des briques
Gloire des fronts
Gloire aux médocs
Qui ne marchent pas
Mais bon
Ils emplissent
Le jour de silence
Et d’air vicié
Pour que la nuit
Tu restes éveillé
Voici le monde
De retour
C’est cool
Fraîcheur de
Sentir le soleil
Ce trésor
Qu’on déterre